Déc 052011
 

Jeudi dernier, il faisait beau, alors je me suis enfin décidé à prendre mon vélo et à aller rouler au bord de l’Isar, histoire de voir si elle était convenablement renaturalisée, de la voir à son débit minimal moyen (16 m³/s, quand le débit moyen vaut 64 m³/s et le débit de la crue centennale 1050 m³/s), et aussi de connaître la géographie de la ville autrement que par le métro. Après avoir rejoint le bord de la rivière, j’ai continué en direction du centre-ville, y ai fait demi-tour et suis revenu par le chemin que suis le métro, en gros, mais en surface.

Voici les photos. La dernière n’a rien à voir, je l’ai prise hier soir.

 

 Publié par à 15 h 42 min

  2 commentaires à “En vélo au bord de l’Isar”

  1. C’est étonnant le nombre de personnes qui se promènent le long des berges ou dans le lit de la rivière!
    Effectivement on voit qu’il manque d’eau.
    L’Isar a-t-elle été convenablement renaturalisée à ton goût?
    Ont ils bien suivi les recommandations des ingénieurs d’Obernach?
    Sylvie

  2. Effectivement, ça ressemble bien au modèle d’Obernach. Les cailloux sont à la bonne place.

Désolé, les commentaire sont désactivés pour l'instant.